Dans le numéro de la revue Cinéma du 15 mai 1928, Spinelly déclare : "Aussi bien pour mes robes que pour mes rôles, il est délicat de m'interpréter. Je n'ai jamais eu, d'une façon suivie, que deux couturières : Poiret et Louiseboulanger. Max pour les fourrures. De même qu'il me faut incarner des personnages spéciaux, je ne peux pas m'habiller comme tout le monde. C'est comme ma vie, d'ailleurs..."