L'article débute ainsi:
" Le gratin de Paris fondu à la fine fleur des acheteurs et des journalistes étrangers, se bousculait, hier à 15 heures, sur l'escalier à reflets qui mène de la boutique de Chanel rue Cambon au vaste salon où défilèrent les privilégiés du monde, aux environs de 1925. Rien n'y a changé. Ni les célèbres paravents de Coromandel, ni les jeux de miroirs. Comme le Florentin Ruggieri traquait l'avenir, pour Catherine de Medicis, dans des glaces placées en regard, verrait-on l'avenir de l'élégance s'inscrire dans celles-ci restées quinze ans aveugles?..."